Domaine de développement
Les militaires
Le but est de permettre une plus grande efficacité en situation de combat en augmentant la réactivité grâce à une exploitation évoluée des informations du terrain.
Le nom des sociétés travaillant sur le sujet n'est pas très facile à trouver.
On peut néanmoins citer la société américaine Tanagram Partners, fondée en 1992, qui
possède une branche « Augmented Reality Design & Development ». Elle travaille régulièrement pour l'armée des Etats-Unis.
Les universitaires : chercheurs et centres de recherches
Différentes universités travaillent sur le sujet. En France, on peut notamment citer l'Ecole Polytechnique de Nantes. Les principaux centres de recherche sont
cependant situés en Ile de France, qu'ils soient privés (exemple : Dassault Systèmes) ou publics (comme le LIST).
On en trouve également en Bretagne (IRISIA), en
Midi Pyrénées, dans les Pays de la Loire (CLARTE) ou en Rhône Alpes (LIRIS). Une liste plus exhaustive des différents centres de recherche français est disponible en annexe.
Une enquête faite en 2007 par l'AFRV a permis d'estimer à 500 le nombre de chercheurs français travaillant sur la réalité augmentée. On remarque par ailleurs que les chercheurs
travaillant sur ce sujet sont sensiblement les mêmes que ceux travaillant sur la réalité virtuelle.
Les deux sujets sont en effet intimement liés.
Les informaticiens
Plusieurs sociétés de développement informatique ont mis au point des logiciels, dont certains sont open-source, afin de permettre aux acteurs industriels et au
grand public dans une moins large mesure, de mettre en application les concepts de la réalité augmentée. On peut citer entre autres le logiciel D-Fusion (sans doute le plus connu),
MatchMover, Societe2d3, etc. Certaines applications fonctionnant sous Android ont également été développées.
Certains de ces logiciels sont par ailleurs issue de travaux universitaires,
notamment des chercheurs de l'université d'Oxford, mais de nombreuses personnes dans d'autres pays s'y consacrent également.
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